C’est aussi une journée en hommage aux journalistes qui ont perdu la vie dans l’exercice de leur profession.
Le 3 mai, on célèbre ainsi depuis 1993 les principes fondamentaux de la liberté de la presse, comme on évalue la liberté de la presse à travers le monde et défend l’indépendance des médias.
Avec les plus grands, on se penchera sur le travail effectué par l’Observatoire des journalistes assassinés : www.unesco.org/en/safety-journalists/observatory C’est une base de données en anglais et en ligne qui fournit des informations sur l’état d’avancement des enquêtes judiciaires menées sur chaque meurtre de journaliste ou de professionnel des médias recensé par l’Unesco depuis 1993. Au 3 mars, on en dénombrait 1 587. L’Observatoire donne également des informations sur l’état d’avancement des enquêtes judiciaires et, dans de nombreux cas, accès à des documents émanant des autorités nationales sur les procédures judiciaires. C’est une excellente occasion, carte interactive à l’appui, de montrer aux jeunes les endroits où les journalistes meurent le plus en travaillant. Sans grande surprise, on retrouvera les dictatures, les zones de guerre… et les pays où les trafiquants règnent en maîtres.
