Le Bafd accessible dès 18 ans à partir du 1er avril 2020
Un décret du 5 février 2020 vient d’abaisser de 21 ans à 18 ans l'âge permettant de se former au Brevet d'aptitude à la fonction de directeur d'accueil collectif de mineurs.
Un décret du 5 février 2020 vient d’abaisser de 21 ans à 18 ans l'âge permettant de se former au Brevet d'aptitude à la fonction de directeur d'accueil collectif de mineurs.
Voici une sélection de sites Internet, de livres, de vidéos… qui viennent enrichir le dossier "Pédophilie et pédocriminalité : comprendre, accompagner, prévenir", publié dans le numéro 206 de février 2020 du Journal de l'Animation.
« Le c.o.d.e » est une collection de guides qui décode la nature, le sport, la société ou les métiers. Le dernier titre est consacré à la laïcité dans le sport, un sujet très actuel.
Selon une circulaire du 12 juin 2019, les branches Jeunesse et Sports des DDCS et DDCSPP vont rejoindre prochainement les services départementaux et régionaux de l’Éducation nationale.
Alors que le 200e numéro du Journal de l'Animation vient de paraître, retour sur cette aventure éditoriale qui a débuté au printemps 1999.
Maîtrisez-vous la réglementation des accueils collectifs de mineurs ? Pour le savoir, il vous suffit de répondre aux 115 questions de ce quiz.
Ce support gratuit a été créé par les éditions Bayard Jeunesse afin de briser le silence sur ce sujet sensible et d’accompagner les personnes concernées.
La Convention internationale des droits de l’enfant fêtera son 29e anniversaire le 20 novembre. Une bonne occasion d’aborder le sujet en accueil collectif de mineurs.
Voici une plateforme de ressources gratuites pour mener des actions de sensibilisation au droit et soi-même se former à animer une intervention.
La prise en charge par l’État du financement des emplois des accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH) "n’est pas limitée aux interventions pendant le temps scolaire", dès lors que l’accès aux activités périscolaires apparaît comme une "composante nécessaire à la scolarisation de l’enfant". Telle est la décision prise par la Cour administrative d’appel de Nantes dans un arrêt du 15 mai dernier.