Vie associative

À la suite de la crise sanitaire actuelle, des professionnels du secteur de l’animation, regroupés au sein du "Collectif national de l’animation", dénoncent un manque de reconnaissance de leur travail par le ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse à travers une lettre ouverte et cherchent à fédérer les acteurs de l’éducation populaire.

Une enquête de l’Observatoire des vacances et des loisirs des enfants et des jeunes, publiée le 18 mai, a cherché à savoir si les familles envisageaient ou non d’inscrire, cet été, leurs enfants en accueils de loisirs et en séjours collectifs. Plus de 4500 parents ont répondu à ce questionnaire.

Le Journal de l’Animation s’est procuré deux versions de travail du cahier des charges de l’opération Vacances apprenantes qui se déclinerait cet été en "colonies studieuses" et en "accueils de loisirs studieux". Alors en quoi consisteraient ces mystérieuses Vacances apprenantes ?

Retour sur la façon dont l’accueil des enfants de personnels indispensables à la gestion de la crise s’est déroulé durant les vacances de printemps à Ligny-en-Barrois, dans la Meuse, sous la houlette de La Ligue de l’Enseignement. Avec de nombreuses incertitudes sur les activités de l’été et l'avenir de l'association.

Cette série de témoignages illustre la manière dont les acteurs du secteur de l’animation traversent cette crise. Parole à Stéphanie Boellinger, 36 ans, directrice dans le Bas-Rhin.

Cette série de témoignages illustre la manière dont les acteurs du secteur de l’animation traversent cette crise. Parole à Julie Trottein, 40 ans, directrice dans le Haut-Rhin.

Le collectif Camps Colos a interpellé le ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse sur la situation dans laquelle se trouve actuellement le secteur de l’animation. Il a aussi imaginé de nombreuses propositions d’actions claires et pratiques pour sortir de la crise.

Cette série de témoignages illustre la manière dont les acteurs du secteur de l’animation traversent cette crise. Parole à Yann Colin, 36 ans, directeur dans les Ardennes.

Cette série de témoignages illustre la manière dont les acteurs du secteur de l’animation traversent cette crise. Parole à Julie Tropamer, 32 ans, directrice dans le Lot-et-Garonne.