À l’approche de l’été, il nous a semblé utile de rappeler les particularités réglementaires de l’organisation d’un mini-camp, ou, selon la terminologie officielle, guère compréhensible par les non-initiés, de « l’activité accessoire à un accueil sans hébergement ».
La mise à jour récente de TAM, le logiciel de télédéclaration des accueils collectifs de mineurs du ministère, fournit une bonne occasion de revenir sur les fondamentaux et les modalités de la déclaration des ACM par les organisateurs auprès de l’État.