Journal : Article
Le métier d’animateur·ice en accueil de loisirs appartient au secteur du care (1) ; il est invisibilisé, mal payé, peu formé, majoritairement féminin et relevant de la sphère privée. Il est en crise, les jeunes s’en détournent, les travailleur·euses n’y restent que peu de temps… et ni les réformes successives ni les grandes réunions ministérielles n’y changent rien.