Il est difficile de ne pas évoquer la notion d’équilibre alimentaire lorsqu’on parle de goûter, ne serait-ce que pour pointer nos mauvaises habitudes !
La présence régulière de fruits (entier, sous forme de salade ou de brochette) au goûter permet d’aborder la notion de saisonnalité avec les jeunes, dès l’âge de 6 ans.
Avec les plus jeunes, le goûter est une formidable occasion de travailler leur connaissance des aliments : fruits, boissons… Elle s’effectuera de manière formelle ou ludique.
Le goûter tient une place particulière en France dans le quotidien des jeunes comme dans bien d’autres pays du monde. Toutefois, les habitudes alimentaires ne sont pas les mêmes…
Nous avons jusqu’alors abordé les valeurs éducatives qu’on peut transmettre lors du goûter. Il est donc temps de parler de ses formes et des activités culinaires à mettre en place.
Voici des exemples de goûters équilibrés, sur lesquels vous pouvez vous appuyer. Bien entendu, l’équipe d’animation veillera toujours à ce que la saisonnalité des fruits soit respectée.
En ACM, le goûter est un temps de vie collective à part entière. À ce titre, il joue un rôle dans l’apprentissage du vivre-ensemble et dans le développement de l’autonomie.
Ces informations plutôt généralistes autour du goûter permettent de cerner l’importance nutritionnelle de ce temps et de sa place dans notre alimentation quotidienne.
Le goûter a une place à part entière pour les enfants et les adolescents dans l’organisation quotidienne de leurs repas. C’est aussi un temps collectif qu’on imaginera volontiers éducatif dans les accueils collectifs de mineurs.
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12 questions pour interroger votre posture professionnelle… de manière plus ou moins décalée.
Éducateur spécialisé en protection de l’enfance durant 28 ans, puis maître de conférences pendant 14 ans à l’IUT2 de l’université Grenoble Alpes, Bernard Vallerie continue à assurer des formations sur le développement du pouvoir d’agir des personnes et des collectivités. Il nous éclaire sur les conditions pour que la participation ne se réduise pas à une intention, mais se concrétise sur le terrain.
Comment mesurer l’ampleur de la participation ? Imaginons une échelle graduée, avec six degrés successifs.